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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 13:13

Affiche-SIG.jpg

 

Placé sous l’autorité du Premier ministre et du Secrétariat général du Gouvernement, le Service d’information du Gouvernement (SIG) a quatre grandes missions.

 

> Analyser l’évolution de l’opinion publique et le contenu des médias.

> Diffuser aux élus, à la presse et au public des informations sur l’action gouvernementale.

> Entreprendre des actions d’information d’intérêt général à caractère interministériel.

> Apporter une assistance technique aux administrations publiques et coordonner leur politique de communication.

 

La création d'un service d'information du gouvernement date de 1976 à l'époque où le président Valéry Giscard d'Estaing voulait renforcer la communication du gouvernement. Le service s'appelait à l'époque "Service d'information et de diffusion" avant de devenir le "Service d'information du Gouvernement" (SIG) en 1996.

 

120 personnes et 6 M€ de budget propre !

 

La charge principale du SIG est de coordonner la communication ministérielle. Pour cela et afin d'informer le public des décisions du pouvoir exécutif et recenser les sondages pour informer les ministres, le SIG dispose d'un budget de fonctionnement auquel il faut ajouter une enveloppe pour les actions strictement interministérielles. Le service comprend 120 personnes pour un budget annuel qui avoisine les 6 millions d'euros. Ce chiffre est à prendre avec précaution, tant l'action du SIG peut être réalisée pour certains ministères spécifiques et donc le coût des campagnes sera alors à leur charge.

 

Jusqu'à 2008, le SIG avait un rôle de technicien plus que de stratège. Il planchait surtout sur des opérations d'intérêt public qui sont signées par les ministères de tutelle : sécurité routière, santé publique. Grâce au label du SIG, les campagnes publiques du Gouvernement bénéficient d'un abattement dans tous les médias sur l'achat d'espace (jusqu'à 65 % sur France Télévisions) !

 

Bureau de la propagande ?

 

Le SIG oscille toujours entre neutralité administrative et engagement politique. Il gère chaque année entre 60 et 80 campagnes. Mais le SIG sort parfois de cette neutralité administrative en élaborant des campagnes plus politiques. Exemple, en 1997, le SIG avait lancé une grande campagne de publicité pour expliquer la réforme des 35 heures. Le slogan "35 heures, du temps pour soi, une chance pour l'emploi" s'était décliné à la radio et dans la presse.

 

Le ministère du Travail et des Affaires sociales demeure le premier annonceur gouvernemental, avec 50 % des investissements, devant le ministère de l'Équipement, du Logement, des Transports et du Tourisme (25 %) et celui de la Défense (20 %).

 

Agence de communication du Gouvernement

 

A son arrivée à l'Élysée, Nicolas Sarkozy a voulu faire du SIG un instrument efficace de communication gouvernementale. Ce dernier s'est donc émancipé de la tutelle de Matignon pour coller au plus près aux aspirations de l'Élysée. Un proche de Nicolas Sarkozy, Thierry Saussez, a été nommé à la fois directeur du SIG et délégué interministériel à la communication gouvernementale. L'ambition du nouveau Directeur était de transformer le SIG en véritable "agence de communication du Gouvernement" ! Depuis, si la communication a effectivement été rationnalisée et s'en trouve plus efficace, elle a également subi quelques couacs retentissant, comme le lancement de France.fr et la plateforme Waka. Cette semaine, Thierry Saussez a annoncé qu'il quitterait son poste dans les semaines qui viennent pour reprendre son activité de Conseil en communication politique.

 

Retrouvez ici le portrait de Thierry Saussez.

Photo > Copyright "RTL" (vous pouvez retrouver la photo originale ici)

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7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 13:12

Alfred-Nobel.JPG

 

Le prix Nobel de la paix récompense "la personnalité ayant le plus ou le mieux contribué au rapprochement des peuples, à la suppression ou à la réduction des armées permanentes, à la réunion et à la propagation des progrès pour la paix" selon les volontés, définies par testament, d'Alfred Nobel. Cela comprend la lutte pour la paix, les droits de l'homme, l'aide humanitaire et la liberté.

 

Le prix de l'année peut être partagé entre deux, voire trois personnalités ou institutions ayant rendu de grands services à l'humanité par la voie diplomatique. Il a été attribué pour la première fois en 1901.

 

Un prix suédo-norvégien

 

Comme l'avait décidé Alfred Nobel, les lauréats du prix Nobel de la paix sont choisis par un comité nommé par le parlement norvégien, les autres prix Nobel sont sélectionnés par l'Institution académique suédoise. D'ailleurs, contrairement à ceux-ci, décernés lors d'une cérémonie royale le 10 décembre à Stockholm, le Nobel de la paix est remis à Oslo car la Suède et la Norvège relevaient en 1901 de la même Couronne avant le divorce de ces deux pays en 1905 ; du fait de cette séparation, un arrangement fut trouvé concernant les prix Nobel et la Norvège hérita de celui de la Paix. Il est doté d'un montant de 10 millions de couronnes suédoises (un peu plus d'un million d'euros).

 

Aucune récompense n'a été décernée pendant les deux conflits mondiaux (sauf en 1917 et 1945) et les années où aucun candidat n'a pu faire l'unanimité.

 

Les nominations pour cette distinction sont le fruit de propositions argumentées et détaillées, émises par des membres d'Assemblées nationales ou des Congrès législatifs, des cercles de professeurs en université dans le domaine de la géopolitique, du droit et des sciences politiques, d'anciens lauréats du prix, des magistrats spécialisés dans le droit international et des conseillers spéciaux du Comité norvégien créé spécialement pour cette branche du Nobel.

 

Chaque année, sur plusieurs centaines de propositions, 199 sont gardées avant qu'une série préalable de candidatures ne soit soumise aux jurés du prix qui établissent au printemps une liste finale de cinq noms ou groupe de noms et structures liés par une même action diplomatique. Le ou les lauréats sont élus après débats, discussions et votes clos en octobre. Leur identité est révélée lors d'une conférence de presse officielle dans la vieille ville d'Oslo.

 

Des nominés parfois "surprenants" …

 

Les nominations sont normalement tenues à rester secrètes durant 50 ans. Plusieurs d'entre elles sont désormais connues et médiatisées, notamment celles comprises entre 1901 et 1955. Quand certaines de ces listes ont été révélées à la presse, on a pu découvrir qu'Adolf Hitler avait été un temps nommé en 1939 par Erik Brandt, membre du Parlement suédois, avant que celui-ci ne soit revenu sur sa décision quelques jours plus tard. D'autres propositions de ce genre ont été soumises au Comité telles que Benito Mussolini (en 1935) ou encore Joseph Staline (en 1945 et en 1948).

 

Retrouvez l'intégralité de l'article sur wikipedia.

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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 12:47

Greve.jpg

 

En ce jour de grève dans toute la France, voici une petite présentation de ce qu'est le fameux "service minimum", si cher à la majorité au pouvoir, à l'ensemble des Français et à … moi.

 

En résumé, le service minimum est – selon Wikipedia – "l'obligation faite aux salariés et entreprises, en particulier de services publics et notamment de transports en commun, d'assurer un service minimum, en toute circonstance et en particulier en temps de grève, pendant les périodes de pointe. Cette disposition limite le droit de grève mais cherche à assurer la continuité du service public de transport. Elle est critiquée par les syndicats de salariés comme restriction du droit de grève".

 

Si l'on parle de "service minimum" depuis longtemps, ce fut surtout une mesure-symbole du candidat Sarkozy en 2007. A peine élu que le le projet de loi était présenté au Parlement (et après on "ose" dire que le Président ne tient pas ses promesses !). Cette loi, appelée "loi sur le dialogue social et la continuité du service public dans les transports terrestres réguliers de voyageurs", a été adoptée le 2 août 2007 et elle est entrée en vigueur le 1er janvier 2008.

 

Un peu d'histoire

Le service minimum est une revendication ancienne de partis politiques ou d'organisations de défense des usagers ; ces usagers payant en effet l'utilisation des transports en commun et étant donc, selon eux, en droit d'attendre un service en retour. Quelques exemples : les associations Liberté chérie, Stop la grève et Contribuables associés. Par ailleurs, depuis 2002, pas moins de dix propositions de loi (7 UMP, 2 UDF, 1 Divers droite) ont été déposées à l'Assemblée pour réclamer l'instauration d'un service minimum dans les transports publics en cas de grève.

 

Fondement juridique

La question du "service minimum" touche à au moins trois principes essentiels, de valeur constitutionnelle. Le droit de grève (remontant à 1864) est affirmé dans le préambule de la Constitution de 1946, et est un important symbole de conquête sociale et de progrès démocratique. La continuité des services publics est un principe général du droit de la République française. Enfin, le principe de la protection de la santé et de la sécurité des personnes et des biens a été consacré par le Conseil constitutionnel en 1980. On pourrait aussi évoquer le droit au travail ou la liberté d’aller et venir, qui sont également des principes constitutionnels, mais que les organisations syndicales semblent oubliés par temps de grèves.

 

Ce qui était déjà en place

Il faut savoir que la loi française imposait déjà – officiellement – un service minimum dans quatre secteurs jugés stratégiques : l’audiovisuel (ah bon ?), le nucléaire, le contrôle aérien et la santé (ah bon !). Il existe, par ailleurs, d’autres services garantis, comme à la RATP, avec le mécanisme d’alarme sociale. Ces derniers ne sont cependant pas coercitifs.

 

Rapport parlementaire d'information

En 2003, un rapport présenté par le Député Robert Lecou avait permis de jeter un coup d'œil à ce qu'il se faisait chez nos voisins européens. Voici quelques extraits du rapport :

 

"La première observation préalable que l’on peut faire est que la grève est avant tout un constat d’échec. Échec, d’abord, du dialogue social. Mais aussi échec pour les syndicats, qui n’ont pu satisfaire leurs revendications ; pour les employeurs, confrontés à d’importantes perturbations dans le fonctionnement de l’entreprise ; enfin, pour les usagers, qui sont partiellement ou totalement privés de l’accès au service public."

 

"Le service minimum, qui existe dans environ la moitié des pays européens, constitue dans l’ensemble un moyen efficace pour garantir la continuité des services publics en cas de grève. Il n’est d’ailleurs pas l’apanage de l’Europe. Cependant, il faut le considérer comme un ultime recours ; le mieux étant, dans tous les cas, d’éviter la grève. Aussi, les autres pays européens ont-ils – comme d’autres grands pays industrialisés tels que les États-Unis ou le Japon – soit encadré strictement son exercice, soit adopté un mode de dialogue social efficient. Par comparaison, la France fait figure d’exception."

 

Satisfait de sa loi et de sa promesse tenue, Nicolas Sarkozy se félicitait dans cette vidéo LCI : "La France est en train de changer. Désormais, quand il y a une grève en France, personne ne s'en aperçoit".

 

A l'occasion de cette (nouvelle) grève, le MEDEF Île-de-France a publié un communiqué estimant que "la perte de chiffre d'affaires pour les entreprises d'Île-de-France peut s'évaluer à 50 millions d'euros par journée de grève". L'organisation patronale rappelle également "que les entreprises franciliennes participent à hauteur de 45% au financement des transports en commun".

 

Tout ça pour dire : "aujourd'hui, je ne sors pas de chez moi" !

 

Photo > Copyright "L'Express" (vous pouvez retrouver la photo originale ici)"

 

 

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 16:29

Assurance-vie.jpg

 

La presse parle beaucoup en se moment de l’assurance vie. En effet, dans le cadre de ses ambitions de réduire notre déficit abyssal, le Gouvernement entend s’attaquer à certaines niches fiscales, notamment les bénéfices financiers liés à l’assurance vie.

 

L'assurance vie est une forme d'assurance. Il s’agit d’un contrat par lequel l’assureur s’engage à verser une rente ou un capital à une personne, le souscripteur, moyennant frais (il ne faut pas exagérer !), lorsque survient un événement lié à l'assuré : son décès ou sa survie (à la durée du contrat).

 

Il convient néanmoins de faire une distinction. L'assurance en cas de décès dite "assurance décès" verse le capital ou la rente en cas de décès (majoré ou minoré des plus-values) au bénéficiaire. L'assurance en cas de vie (aussi appelé "assurance sur la vie") verse un capital ou une rente en cas de vie à échéance du contrat (dans ce cas, l’assuré est donc souvent aussi le bénéficiaire).

 

Un contrat d’assurance vie est souvent perçu comme un outil de transmission de capital (l’assurance vie en cas de décès), mais il est également un véritable outil d’épargne (l’assurance vie en cas de vie).

 

Ce qui communément est appelé "assurance vie" en France est un double contrat d'assurance décès et d'assurance en cas de vie sur une durée unique. Ceci permet de présenter un quasi produit d'épargne, doté des avantages fiscaux de l'assurance. Ce capital pourra alors être converti en rente, ce qui permettra de se constituer une retraite.

 

L'assurance vie permet aussi de faire fructifier des fonds tout en poursuivant un objectif à long terme : la retraite, un investissement immobilier, etc. Elle offre aussi d'importants avantages fiscaux en matière de succession (ce qui n’est pas à négliger vu la folie des droits de succession en France).

 

Un contrat d'assurance-vie doit avoir une durée déterminée à la souscription, reconductible ou non selon les contrats par prorogation d'année en année.

 

Wikipedia nous renseigne enfin sur une donnée que je trouve fort intéressante : les contrats d'assurance vie non réclamés.

 

"Dans la majorité des cas, la recherche du bénéficiaire d'un contrat d'assurance vie ne pose aucune difficulté. En effet, pour 80 % des contrats, c’est le souscripteur qui perçoit lui-même le capital ou la rente. Et pour les contrats restant, les bénéficiaires sont à plus de 80 % le conjoint ou les enfants de l’assuré, ce qui écarte, dans la quasi-totalité des cas, un problème de recherche de bénéficiaires. Les cas où l’assureur peut rencontrer quelques difficultés pour identifier le bénéficiaire restent donc extrêmement rares. Mais il faut savoir que la somme de ces contrats d'assurance vie non réclamés atteint 700 millions d'euros, d'après les dernières enquêtes de la Fédération française des sociétés d'assurances (FFSA)".

 

Et après, on nous dit que les banques, les assureurs et l’État non plus d’argent ! 

 

 

 

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 11:33

 

FemmeRom 

 

 

En ces temps agités, les Roms apparaissent très (trop ?) régulièrement sur nos écrans et dans nos journaux. Mais qui sont-ils ?

 

Le site de la chaîne Arte nous informe que : "Selon la définition du Conseil de l'Europe et de l'Union européenne, le terme "Rom" désigne l'ensemble des populations immigrées de Nord-Ouest de l'Inde au premier millénaire. Il regroupe donc les Roms, les Sintés, les Kalés, les Gens du voyage et les groupes de populations apparentés en Europe. En France, le terme "Rom" désigne uniquement les Tziganes originaires des pays d'Europe de l'Est, Roumanie et Bulgarie principalement. Si on s'en tient à cette définition, alors les Roms seraient quelque 15.000 en France".

 

Selon Wikipédia, le terme "rom" est un endonyme signifiant "êtres humains" adopté par l'Union romani internationale (IRU) et les Nations unies pour désigner un ensemble de populations, ayant en commun une origine indienne, dont les langues initiales sont originaires du nord-ouest du sous-continent indien, et constituant des minorités entre l'Inde et l'Atlantique (voire en Amérique du Nord), connues sous de nombreux exonymes dont les plus utilisés en français sont Gitans, Tsiganes ou Tziganes, Manouches, Romanichels, Bohémiens, Sintis, ou parfois gens du voyage (bien que cette dernière dénomination ne soit pas réservée aux Rom).

 

C’est à Londres en 1971 que cette dénomination fut officialisée lors du premier Congrès international des Roms. Selon le Conseil de l’Europe, "Les Roms et Gens du voyage forment un groupe d'entre 10 et 12 millions de personnes en Europe et sont présents dans la quasi totalité des États membres du Conseil de l'Europe". Il s’agit de la plus importante minorité sans territoire compact. Ils ne bénéficient donc d’aucune assistance d’un État parent.

 

Info pratique : Le réseau EURoma a été mis en place au niveau européen avec une enveloppe de 17,5 milliards d’Euros sur 2007-2013. Douze États-membres font partie de ce réseau, dont la mission est de répartir efficacement ces Fonds structurels européens. La Roumanie et la Bulgarie font partie de ce cercle restreint, naturellement. Pas la France.  

 

Photo > Copyright "Rue89" (vous pouvez retrouver la photo originale ici).

 

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31 août 2010 2 31 /08 /août /2010 00:35

 

Cour-de-Justice-de-la-Republique.jpg

 

 

On apprend que le ministre du Travail, Eric Woerth, va se retrouver devant la Cour de justice de la République. C'est fort bien, mais qu'est ce que c'est ?

 

Le site de l’Assemblée Nationale nous apprend que "les membres du Gouvernement sont pénalement responsables des actes accomplis dans l'exercice de leurs fonctions et qualifiés crimes ou délits au moment où ils ont été commis, qu'ils sont jugés par la Cour de justice de la République". De plus, "la Cour de justice de la République comprend quinze juges : douze parlementaires élus, en leur sein et en nombre égal, par l'Assemblée nationale et par le Sénat et trois magistrats du siège à la Cour de cassation, dont l'un préside la Cour".

 

Sur le site politique.net, on peut lire : "La Cour de Justice de la République (CJR) est l'institution chargée d'instruire les dossiers judiciaires et de juger les ministres pour des faits qui se sont déroulés dans le cadre de leur fonction. Si un ministre commet un crime ou un délit, ce n'est donc pas un tribunal classique qui peut le juger. Cette juridiction d'exception s'explique par le caractère particulier de la fonction de ministre. Au nom de la séparation du pouvoir entre l'exécutif et le judiciaire, la justice ordinaire ne peut inculper un ministre si l'affaire concerne des faits qui se sont déroulés dans le cadre de sa fonction. Autrement dit, si un ministre attaque une banque, il sera jugé par la justice ordinaire car sa fonction de ministre n'a rien à voir avec l'affaire. En revanche, si un ministre détourne de l'argent en recevant une commission d'une vente d'arme, il sera jugé par la CJR".

 

Dans le passé, la CJR a déjà jugé plusieurs ministres, dont l'ancien Premier ministre Laurent Fabius et l'ancienne ministre des Affaires sociales Georgina Dufoix en 1999 pour l’affaire du sang contaminé (dans les années 80). Fabius et Dufoix avaient alors été relaxés. Ségolène Royal, alors ministre déléguée à la famille, a été relaxée en 2000 dans une affaire de diffamation l'opposant à des enseignants.

 

Photo > Copyright "La Croix" (vous pouvez retrouver l'illustration originale ici).

 

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